Avec l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer), la France est au deuxième rang mondial.

L’Ifremer intègre parmi ses priorités la finalité de développement durable dans ses programmes de recherche.
L’Ifremer a un budget d’environ 150 millions d’euros. Sa filiale Genavir (320 salariés) arme les navires océanographiques hauturiers et côtiers, ainsi qu’une flotte d’engins sous-marins pilotés ou non d’exploration.
La recherche océanographique et le soutien à la pêche incluent :
- l’évolution des écosystèmes marins (environnement, qualité des eaux),
- l’évaluation des ressources halieutiques,
- la gestion de l'environnement littoral,
- l’exploration des fonds océaniques et de l’hydrosphère,
- le développement du chalut « méso-pelagos », chalut acoustique pélagique,
- l’ingénierie et la technologie marine.

Flotte

16 navires océanographiques.
3 sous-marins de grande profondeur dont le Nautile dont les capacités de plongée donnent accès à 97 % des fonds marins.
1 submersible habité et 1 engin télé-opéré de grande profondeur.


Un réseau

1 900 salariés dont 1 380 chercheurs.
72 laboratoires, répartis dans 24 stations sur tout le littoral métropolitain et dans les DOM TOM.
5 centres principaux : Brest, Manche, Méditerranée, Nantes, Tahiti.
Une interconnexion poussée avec d’autres organismes de recherche : CNES, INSU, Météo-France, etc et avec des opérateurs industriels, armements à la pêche,etc.

Des coopérations internationales

L’Ifremer contribue aux programmes internationaux de recherche sur l’étude du climat, de l’environnement et de la biodiversité. Il participe activement aux travaux de l’Union européenne et au Marine Board de la fondation européenne pour la science. 40 % des programmes de recherche sont conduits avec des partenaires européens.
L’Ifremer est membre de la Commission océanographique intergouvernementale et il anime de nombreux accords internationaux de portée mondiale.